Rassemblés peu avant sa mort, le 2 septembre 2013, par A. Testart, ces textes forment une synthèse d'un sujet que le chercheur n'a cessé d'explorer. Il y met en évidence la constance de la répartition sexuelle du travail à travers les époques et les cultures, et postule que cette division a son origine ancestrale dans les menstruations, les femmes étant écartées des tâches liées au sang.