Contrebandier aimé du peuple, Mandrin ne s'en prend qu'aux Fermiers généraux à qui il fait rendre l'argent extorqué par des impôts arbitraires et des exactions innombrables. Il ne vole donc que des voleurs et se montre d'une grande générosité à l'égard des petites gens, ou même de ses adversaires, avec un panache conservé presque dans le supplice.