A sa mort, le 28 juillet 1750, Jean-Sébastien laissa derrière lui quelque onze cents chefs-d'oeuvre qui défieront les siècles. Quel matériel génétique et quel terreau culturel exceptionnels ont favorisé l'éclosion et l'épanouissement d'un tel génie ? C'est à cette question que tente principalement de répondre cet ouvrage, première synthèse de la recherche bachienne depuis un demi-siècle.