Assise, le soir, après de longues promenades à travers le jura, sur le canapé d'un salon romantique de pension helvétique où elle passe l'été, née à Neuchâtel d'un père calviniste et suisse et d'une mère catholique et française, mariée à un ingénieur chimiste bernois puis à un paysan éleveur de basse Normandie... Que cache donc Marguerite Droz?