Dans les années 1920, Amélie Zürcher confie l'exploitation de son domaine agricole à un couple de Polonais tandis que leurs enfants travaillent à la mine de potasse, dont elle est l'une des principales actionnaires. Avec, en fin d'ouvrage, le témoignage d'une descendante de la famille Amalrek évoquant l'intégration des Polonais dans la société française.