L'auteur dénonce la responsabilité des grands laboratoires agrochimiques dans la disparition des insectes ainsi que leurs méthodes pour cacher ce fait à l'opinion publique, en instrumentalisant et en détournant la science, la réglementation et le débat : infiltration par l'industrie des associations scientifiques, travaux destinés à invisibiliser la question des néonicotinoïdes, etc.