Roman de la détresse de l’enfance, mais également de ses émerveillements et de ses rêves, La Grande Eau laisse au cœur une empreinte ineffaçable. Les faits relatés se passent au lendemain de la dernière guerre, dans un orphelinat où se retrouvent les victimes les plus démunies de la folie humaine. Là, entre une cour transie et un mur paraissant s’élever jusqu’au ciel, cette horde triste, en rang, apprend les règles de la nouvelle société.