A quoi bon gagner du temps si nous ne savons pas en profiter ? Se reposer est un art. Un "professionnel" du loisir et de la fantaisie vagabonde nous offre cet éloge - nuancé - du repos. Pour éviter que le temps gagné soit aussitôt perdu, l'auteur se livre ici à une pédagogie ironique : les vacances et les voyages s'apprennent comme le reste. Cette pratique du farniente n'est pas seulement une question de lois et de congés payés, c'est d'abord avec l'âme qu'elle a affaire.