Au contraire du coup d'Etat du 18 brumaire de Napoléon "opération minable à la limite de l'échec", celui de Napoléon III du 2 décembre "fut une réussite parfaite", qui connut une vraie postérité. Est-ce cela qui rendait l'homme politique si intéressant aux yeux de François Mitterand ? De fait, ce Napoléon revisité se veut aussi être un Mitterand revisité.