Cette farce n'a que la prétention de divertir en tournant en dérision les généraux et en égratignant, au passage, les politiciens et l'Eglise. Plutôt que de proclamer son horreur de la guerre, l'auteur choisit de la ridiculiser en la présentant comme un enfantillage. Seuls de grands dadais puérils, poltrons et vaniteux, totalement dépourvus du sens et du goût des responsabilités, peuvent se consacrer à une entreprise aussi peu sérieuse.