Grand voyageur, journaliste, écrivain, J. Kessel évoque ici plus particulièrement "Le tour du malheur", le seul de ses ouvrages à "s'être véritablement imposé" à lui, le seul auquel il "tienne vraiment", lui qui se dit "béni par l'existence" confie n'avoir retenu de son expérience autour du monde que "compréhension et compassion pour l'homme".