L'auteur-journaliste a assisté ou participé à de nombreuses conversations entre hommes politiques. Il y a appris des choses qu'il n'a jamais pu publier. Dans son milieu professionnel, ces conversations étaient "off the record", c'est-à-dire des confidences non destinées à être publiées. Mais les médias français ont fini par faire du "off" un usage de plus en plus large et perverti.