"La grande guerre du Sondrebond" : Au lieu d'exalter les vertus patriotiques, Ramuz choisit la dérision. Il jette sur les événements un regard caustique et désabusé : en faisant de cette guerre une épopée de poche, il la renvoie au néant. "Le cirque" : Ce texte très court impose un ton et une vision du monde forain. "Conformisme" : Un petit texte virulent habile à venir dans nos oreilles avec son reproche à la Suisse et aux Vaudois.